Tout n’est pas à rejeter dans le « hard discount ». On y trouve même l’essentiel. Et en cas de coup dur, il ne faut pas hésiter à pousser la porte des épiceries solidaires.
Du bon et du moins bon
Parce que les aliments « premier prix » ne sont pas chers, on pense que la qualité ne sera pas au rendez-vous. Erreur ! Il n’y a pas de différence en ce qui concerne les aliments de base : pâtes, riz, farine, sucre, huile, lait… En revanche, cette observation ne vaut pas pour les produits élaborés (biscuits, plats cuisinés, charcuteries…) qui peuvent contenir plus de sucre ou de sel, et moins d’ingrédients nobles. Quant aux légumes en conserve, dont le cahier des charges est moins exigeant, prudence : ils présentent une qualité variable.
Les épiceries sociales pour les plus désargentés
Ces structures d’aide alimentaire se sont développées en France depuis une dizaine d’années. On y fait ses courses pour seulement 10 à 30 % du prix habituel. Pour y accéder, il faut prendre contact auprès du Centre communal d’action sociale. Fréquentées par des personnes très démunies, ces épiceries dépannent aussi des personnes en difficulté financière ponctuelle (perte d’emploi, suppression d’une allocation…). Les particuliers peuvent donner un coup de pouce en faisant un don au réseau des épiceries solidaires ou à la Banque alimentaire (1).
(1) http://www.paris.fr/accueil/accueil-paris-fr/un-livret-cuisiner-malin/rub_1_actu_113735_port_24329
(2) Deux dates dans l’année : en octobre, la Semaine du Goût (www.legout.com) et en juin, la Semaine de la Fraich’Attitude (www.fraichattitude.com)
un service de La Mutuelle
Générale pour vous apporter
les clés d’une alimentation
équilibrée.
Alors suivez le guide
et bon appétit !
©2013 On mange quoi ? Ce service vous est proposé par La Mutuelle Générale.