Fêtes de fin d’année et/ou vacances sont souvent l’occasion de faire des excès à table, avec ce que cela implique ensuite de culpabilité. Pourquoi est-il devenu si compliqué de se nourrir ? Les explications de Katherine Kuréta-Vanoli, diététicienne et membre du Groupe de réflexion sur le surpoids et l’obésité (GROS).
Médias, professionnels de santé et parfois même famille ou collègues, la pression est grande : il faut garder la ligne même si on est programmé pour être rond, éviter les aliments gras et sucrés, manger au moins cinq fruits et légumes par jour…
Des recommandations parfois contraignantes
L’objectif est louable : être mince et manger sainement contribuent, études à l’appui, à la prévention des maladies cardio-vasculaires et de certains cancers… Sauf que ces messages manquent de souplesse, estime Katherine Kuréta-Vanoli. Résultat, « Les personnes qui tentent de les appliquer au pied de la lettre ont, au final, un rapport difficile à la nourriture ». Or, il ne faut pas perdre de vue que les conseils diététiques évoluent au fil des connaissances scientifiques. Bref, s’il est souhaitable de manger équilibré, rien ne sert de faire trop de zèle.
50 ans de consignes contradictoires
Voici quelques exemples des recommandations pour maigrir des dernières décennies
un service de La Mutuelle
Générale pour vous apporter
les clés d’une alimentation
équilibrée.
Alors suivez le guide
et bon appétit !
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